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5 motos anciennes immortalisées au cinéma

De nombreuses motos sont devenues célèbres après être apparues dans un film culte. Découvrez 5 motos anciennes immortalisées par leur rôle au cinéma ! Les motos occupent une place de choix dans le septième art, et de nombreux modèles sont devenus célèbres après leur apparition sur grand écran ! De l’Indian Scout de 1920 à la Ducati 996, découvrez 5 motos anciennes, consacrées dans les salles de cinéma !

L’Indian Scout 1920, moto de collection dans Burt Munro

L’Indian Scout est une moto américaine construite entre 1920 et 1949 par Indian Mortorcycles Company. Le modèle produit en 1920 est immortalisé par le film Burt Munro, inspiré d’une histoire vraie, sorti en 2005 sur grand écran.

L’intrigue se déroule à la fin des années 1960. À 65 ans, Burt Munro (Anthony Hokpins) est un Néo-zélandais passionné de moto, qui rêve de participer à une prestigieuse course de motos à Bonneville, en Utah, aux États-Unis. Grâce à son Indian Scout 1920, qu’il a modifié lui-même, il atteint les 330 km /h et établit un record de vitesse qui reste encore à battre aujourd’hui.

La Triumph Thunderbird 6T de Marlon Brando dans L’Équipée Sauvage

La Thunderbird 6T est une moto produite par la firme britannique Triumph, à partir de 1949. Ce véhicule devient célèbre après la sortie du film L’Équipée Sauvage, en 1953. Ce long-métrage est le premier à promouvoir la contre-culture biker américaine.


Johnny Strabler, incarné par Marlon Brando, est le chef d’un gang de motards. Pilotant une Triumph Thunderbird 6T, il lance l’image du motard bad boy, avec un blouson de cuir et un comportement macho. Le film est très controversé et est même interdit en Grande-Bretagne pendant 14 ans. La firme est d’abord irritée de se voir associée à ce film, mais change d’avis après avoir vu ses ventes augmenter de façon considérable.

La Triumph TR6 Trophy de La Grande Évasion

La TR6 Trophy a été produite par Triumph entre 1950 et 1973. Elle est devenue célèbre après avoir été utilisée par Steve McQueen dans La Grande Évasion, long-métrage sorti en 1963.

La Grande Évasion raconte l’histoire d’un groupe de pilotes alliés, prisonniers des Allemands durant la Seconde Guerre Mondiale. Ils tentent de s’évader du camp Stalag Luft III. Durant l’évasion, le capitaine Virgil Hilts (Steve McQueen), de l’armée de l’air américaine, utilise une TR6 Trophy (maquillée en moto allemande) pour s’échapper en passant par-dessus les clôtures. La séquence comporte de nombreuses cascades, dont un saut de 20 mètres qui a dû être réalisé par une doublure !

La Kawasaki GPZ 900R Ninja de Tom Cruise dans Top Gun

La Kawasaki GPZ 900 R est une moto sportive produite par le constructeur japonais Kawasaki Heavy Industries, entre 1984 et 2003. Ce modèle devient culte lorsque Tom Cruise, alias Pete « Maverick » Mitchell, s’en sert dans Top Gun, en 1986.


Top Gun est le film d’action qui a lancé la carrière de Tom Cruise. Dans ce long-métrage, il incarne un pilote de chasse intrépide, voire téméraire. La moto est accessoire, dans ce film, mais devient néanmoins célèbre.

La Ducati 996 de Matrix – Reloaded

La Ducati 996 est une moto sportive produite par la marque italienne du même nom, entre 1999 et 2002. La superbike devient célèbre après la sortie du film Matrix – Reloaded, en 2003.

Matrix - Reloaded est le deuxième opus de la série Matrix, dans laquelle une intelligence artificielle a asservi les humains et les maintient prisonniers dans une réalité virtuelle pour utiliser leur chaleur corporelle comme source d’énergie. Neo et Trinity se servent d’une Ducati 996 lors d’une course-poursuite. Ducati utilise le buzz produit par le film pour mettre en avant son modèle suivant, la Ducati 998.

Ces cinq exemples de motos anciennes illustrent la place occupée par ces véhicules dans les œuvres du septième art. Vous avez acheté votre moto de collection après l’avoir découverte dans un film ? Consultez notre catalogue de pièces détachées pour pouvoir l’entretenir en toute tranquillité !

Courtoisie, fraternité et sécurité : l’esprit motard résumé dans ce simple geste d’apparence anodine, et pourtant chargé d’histoire.